Mon Premier Voyage De Femme « Libre »… 11° Partie

Je tiens à préciser que cette partie a été écrite majoritairement par mon ami Yves. Ceci explique le changement de ton et de style...

J’avais besoin de me rafraîchir et de me poser un peu. La nuit avec mes jeunes vendeurs de voiture et les assauts d’Yves m’avaient brisée. C’est là où l’on regrette ses vingt ans.

Je devais également téléphoner à Paul pour lui raconter ma rencontre avec Yves. Il devait attendre impatiemment mon compte-rendu. Le coquin d’Yves avait déjà dû se vanter auprès de lui et je pense que les images qu’il avait prises étaient sans équivoque.

Je fis quelques selfies pour Paul afin qu’il voit sa Éva en tenue légère dans les rues de la capitale.

Dès mon retour à l’appartement je me déshabillais et pris une bonne douche. J’en profitais pour me laver encore les cheveux qui avaient été éclaboussés par la crème d’Yves.

Une fois essuyée je me promenais nue dans l’appartement de mon fils. Je me mis à la fenêtre pour appeler Paul.

Il décrocha à la première sonnerie. Il devait être impatient d’avoir de mes nouvelles. Oui, Yves l’avait appelé. Oui, il savait que je devais manger avec lui. Oui il savait déjà qu’il m’avait baisée dans les toilettes du restaurant. Toutes les images n’étaient pas encore arrivées, mais il s’était déjà masturbé à la vue des premières qu’il avait pu visionner.

- Qu’est-ce qu’il t’a mis. C’est incroyable tout le jus qu’il peut gicler. Tu avais l’air de bien aimer la direction qu’Yves t’a imposée ?

- Oui mon chéri. Je savais que ton copain était puissant, mais là, j’ai subi des assauts d’un bucheron très directif : un « Maître ». Il est charmeur et a un charisme fou. Et quelle canaille ! Me baiser dans les toilettes. Jamais je n’aurais imaginée me faire baiser comme une chienne dans des WC publics. J’ai adoré !! J’ai joui comme une folle. Yves m’avait totalement envoutée. Je n’étais qu’une salope en chaleur que seule la jouissance importait.

Sous ses coups de butoir, j’ai perdu pied. J’avais des soubresauts, des frissons. Tout mon corps était en ébullition. Je ne sais combien de fois j’ai joui. Et qu’est-ce qu’il m’a remplie. Ma bouche était pleine de sa crème que j’ai avalée avec plaisir en le regardant dans les yeux. Il était encore davantage endiablé le coquin. Et quelle façon de le remercier pour m’avoir si bien baisée.

Vous êtes des cochons tous les mecs !!! Mais qu’est-ce que c’est bon de planer en plein délire sexuel. J’adore. Merci, merci et remerci mon Paul chéri de me laisser profiter de la vie et de mon corps. Tu avais diablement raison. J’aurais dû me lâcher beaucoup plus tôt. Que d’années perdues.

Je t’aime follement. Je pense bien à toi et je suis ravie de voir que je peux te renvoyer mon plaisir à distance. Branle-toi bien et j’attends mon retour avec impatience pour me lover entre tes bras. Je t’aime.

J’avais peur que Paul me demande de revenir, qu’il me fasse des reproches, qu’il me culpabilise. Mais non, je le sens bien. Et moi qui croyais qu’un homme qui n’est pas jaloux ne peut pas être amoureux. Et bien, j’ai la preuve que non.

Une fois l’appel terminé, j’envoie des photos à Paul et j’en profite pour en envoyer quelques-unes à Jeff. Histoire de le faire bisqué et pour maintenir la pression. J’espère le revoir avant son départ de Paris.

Aussitôt un bip m’informe d’un message. C’est Jeff qui me répond. Il me dit qu’il est hyper excité et que bander en réunion, ce n’est pas très confortable et qu’il a hâte de me revoir. Demain ?

Je lui réponds : Pourquoi pas ? Mais avant je dois renouveler ma garde-robe. Il a été trop fougueux. Mon chemisier, ma jupette, mes bas sont à la poubelle. J’en profite pour lui demander s’il a une tenue préférée pour son Éva.

- Oui me répondit-il : toute nue !!!!

Qu’il est mignon !

- Ce sera une surprise alors. On se tient au courant.

Enfin. Je peux penser un peu à moi. Je me pose. Je prends ma tablette, regarde mes mails, navigue un peu, puis je m’endors épuisée.

Cette petite sieste réparatrice passée, je me prépare pour aller chez Yves. Je choisis une petite robe noire largement décolletée et toute boutonnée sur le devant. Toujours pas de sous-vêtement. Une paire de bas et un manteau léger car les soirées sont fraîches.

J’appelle un taxi. Je fais quelques photos pour mon Paul et me voilà partie chez Yves.

Me voici arrivée chez Yves et Claudia.
Je me sens un peu inquiète. Mais bon, que peut-il m'arriver ?
Que du bon, non ?
Je grimpe d'un air décidé l'escalier qui me mène à leur appartement…
Je sonne…

C'est Yves qui raconte cette soirée.

Le soir venu, Nous avons, Claudia et moi, préparé quelques en cas afin de pouvoir grignoter sur les canapés avec Éva.

Ça sonne et je vais ouvrir. Éva est là, toute belle, légèrement maquillée, en toute simplicité, mais en même temps toute timide. Elle a encore les yeux brillants et d’un seul coup, la scène de ce midi me revient et je suis déjà en train de bander…

Claudia n’étant pas au courant de cette escapade, nous ne disons rien. En revanche elle s’est aussi habillée pour la circonstance car Paul, son mari, nous avait donné son aval pour faire à Éva ce que nous voulions, dans la mesure où Éva y trouverait du plaisir. Nous savions que pour elle ce serait une première, et cela excitait encore plus Claudia…

- Entre Éva, mets-toi à l’aise.

Sous son manteau, elle a une robe courte très échancrée qui laisse voir la moitié de ses seins. Sa robe est tellement courte que l’on pourrait voir la lisère de ses bas. Claudia l’invite à s’asseoir et nous commençons à boire et à discuter de tout et de rien.

Après quelques coupes, les belles commencent à avoir les yeux pétillants et les robes remontent doucement sans qu’elles s’en offusquent, pour mon plus grand plaisir, celui de mes yeux, et surtout celui de ma queue qui se délectait à l’avance des ces 2 petites chattes toutes trempées qui l‘attendaient…!

Nous avions convenus avec Claudia que c’est elle qui déclencherait les hostilités…! Je sais qu’elle était troublée par la situation, et elle devina mon excitation… je n’arrête pas de regarder dans le décolleté d’Éva, et Claudia écarte les cuisses pour me laisser entrevoir son string tout fin et tout transparent qui ne cache rien de son petit abricot….

- Bon, Yves, tu pourrais peut-être nous inviter à danser, car un slow comme celui-ci ne se refuse pas.. Invite Éva et ensuite se sera mon tour. Honneur aux invités !

Je me lève et fais signe à Éva de se lever. Elle n’attendait que ça… elle se retrouve dans mes bras et je la serre contre moi, je plonge dans son cou pour m’enivrer de son parfum. Elle se colle à moi et sent ma queue toute dure contre elle… Claudia nous regarde et me fait un clin d’oeil complice… Comme Éva lui tourne le dos, j’en profite pour remonter sa robe sur ses fesses afin que ma belle puisse se régaler du spectacle. La coquine n’en perd pas une miette et me fait signe de continuer.

Éva a posé sa tête contre mon épaule et elle s’abandonne à mes caresses sur son joli cul et ses cuisses.. Je bande de plus en plus… Claudia n’en peut plus. Elle se lève et vient nous rejoindre. Elle se place à côté de nous et m’embrasse à pleine bouche. D’une main elle me caresse la nuque, et de l’autre elle rejoint ma main sur les fesses d’Éva. Cette dernière tourne alors la tête pour nous regarder, et dans un ensemble parfait, Claudia et moi nous nous battons pour l’embrasser… tour à tour, nous lui attrapons la bouche, la langue... Éva se laisse aller et nous donne sa langue à sucer, ses lèvres sont douces et chaudes. Cette salope est toute excitée, comme la mienne d’ailleurs…

Claudia se penche et plonge sa tête dans le décolleté d’Éva. Je les laisse danser toutes les 2.

Je profite de mon retrait pour déclencher mon caméscope.

Claudia suce à présent les seins d’Éva qu’elle malaxe à pleines mains. Je sens qu’Éva est toute troublée par cette situation. Elle se laisse faire, docile, me regarde, regarde Claudia et ferme les yeux sous la langue de Claudia qui s’est emparée de ses tétons tout gonflés.

Je me place derrière Claudia, lui baisse son string et lui introduit un doigt dans sa chatte tout trempée.. Sous l’intrusion, elle gémit et se penche un peu plus. Je fais alors la même chose à Éva, et j’ai maintenant un doigt dans chacune des 2 chattes… je ne peux dire laquelle est la plus trempée…je les doigte ainsi plusieurs minutes, introduisant plusieurs doigts, jouant avec leur clito tout tendu, je demande alors aux 2 filles de s’asseoir sur le canapé.

- Maintenant les coquines, vous allez me déshabiller car je crève de chaud et j’ai la queue toute serrée dans mon caleçon.
- OK approche-toi me dit Claudia. Éva, commence par sa chemise… maintenant continue et enlève lui tout.

En même temps, Claudia déboutonne la robe d’Éva de haut en bas, l‘ouvre entièrement et la lui enlève. Éva est à présent les seins à l’air, uniquement vêtue de ses bas… cette vision termine de gonfler ma queue à son maximum. Elle m’enlève mon caleçon et Claudia prend alors ma queue dans sa main, me branle doucement, et demande à Éva si elle a envie de me sucer.

- Oui, si tu m’y autorises.
- Et comment, je suis sur que cet obsédé ne sera pas contre. N’est-ce pas Yves ??!!
- Au contraire mes jolies, elle est toute à vous ! Léchez et secouez cette grosse queue qui bande pour vous. Montrez-moi comment vous faites mes petites salopes..!

Claudia dirige ma queue vers la bouche d’Éva et pousse sa tête vers ma bite toute raide. Éva ouvre la bouche, sort sa langue et commence par lécher la goutte qui perle au sommet de ma queue. Puis lèche mon gland tout doucement, vite rejointe par Claudia. Elles me lèchent à présent toutes les 2, montent et descendent sur ma queue avec leurs langues, et s’embrassent en même temps dès qu’elles le peuvent…. Puis Éva plonge alors sa tête sur ma queue et l’engloutit au fond de sa gorge. Claudia pousse un soupir de satisfaction et regarde ma queue qui entre et sort de la bouche gourmande d’Éva. Elle en veut aussi et arrache ma queue pour la sucer à son tour… Éva regarde Claudia me sucer, et quand cette dernière lui tend ma queue, elle recommence à me sucer… A ce rythme là je vais jouir très vite, trop vite… Éva suce divinement bien, et j’apprécie encore plus que tout à l’heure cette pipe…

Les 2 salopes alternent de la sorte, et au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens que je vais jouir… je leur demande d’arrêter mais Claudia me dit :
- Pourquoi arrêter mon Amour?? Tu n’aimes pas??!
- Si j’adore, mais je vais jouir…
- Et alors??
- J’aimerai vous baiser avant mes coquines
- Ne t’inquiète pas, on se chargera de te faire bander… et tu sais que j’adore ta crème? Et puis Éva a peut-être envie d’y goûter aussi n’est-ce pas??
- Oui, je veux boire son jus. J’adore celui de Paul et j’aimerais goûter le sien… je veux boire sa grosse queue.
- Alors ouvre ta bouche, on va le branler toutes les 2, mais je veux qu’il gicle dans ta bouche, je veux que tu prennes tout, mais, en revanche, tu m’en donneras un peu… j’irai en chercher sur ta langue…

Elles se remettent à me branler… Éva me regarde en même temps avec un sourire coquin et me fait un clin d’oeil, sans doute en souvenir de ce midi…

Claudia caresse la chatte de Éva et celle-ci accélère le mouvement de va et vient sur ma queue… je bande au maximum. C’est trop bon.

- Je vais jouir mes petites putes
- Ouiiiii…. Viens mon cochon

Je réunis les 2 têtes côte à côte et je laisse Éva continuer… ça y est je viens… une première giclée surprend Éva et le jet se perd sur sa joue… la 2eme part directement dans sa bouche, et la troisième dans celle de Claudia car Éva a dirigé ma queue vers sa bouche grande ouverte… puis Éva me termine en avalant ma queue et en me branlant tout doucement….sa langue se fait toute douce sur mon gland.

Claudia sort sa langue et me montre ma crème qu’elle n’a pas encore avalée… Elle se tourne vers Éva, lui att la tête et l’embrasse à pleine bouche, échangeant mon sperme et l’avalant. Ces salopes n’en perdent pas une goutte et l’avalent avec délice… Claudia lèche la crème qui coule sur la joue d’Éva, et retourne l’embrasser… Elles sont appuyées contre le canapé, leurs petites chattes toutes offertes, les cuisses écartées… je ne peux m’empêcher de plonger vers ses fruits bien murs et bien juteux………